Qui est Madame Maylis de Kérangal ?

Notre réponse du 17/02/2015

L’article de Wikipedia Maylis de Kérangal constitue une bonne première approche de cet auteur très médiatique.

Articles de presse

Pour compléter, vous pouvez vous reporter aux références d’articles de revues suivants repérées dans la base de presse Généralis Indexpresse à laquelle la Bpi est abonnée. La plupart de ces revues sont présentes dans les bibliothèques municipales. Si vous êtes étudiant, vous pouvez localiser ces revues en bibliothèques universitaires à l’aide du catalogue collectif Sudoc 
« A l’école du regard », Oriane Jeancourt Galignani, Transfuge, 01 septembre 2014, n°80, pp.103-106 Le 7 juin dernier avaient lieu les rencontres littéraires en pays de Savoie, à Chamonix. Pour sa 14e édition, la FACIM avait convié Maylis de Kerangal et son invité, Jean Echenoz. Récit de ce festival d’un jour à plus de 2 000 mètres d’altitude.

L’Entretien Maylis de Kerangal : « Ecrire, c’est comme instaurer un paysage », François Busnel, Lire, 01 mai 2014, n°425, pp.94-101
C’est le véritable événement de ce début d’année 2014. Un roman superbe rencontre des lecteurs heureux. « Lire » vous a parlé du nouveau livre de Maylis de Kerangal, « Réparer les vivants », dès sa parution, en janvier dernier. Depuis, il s’est installé dans les listes des meilleures ventes et a remporté le prix RTL-Lire à une écrasante majorité, ainsi que le prix France Culture-Télérama. Deux prix de lecteurs. Avec « Réparer les vivants », Maylis de Kerangal signe son plus beau texte […]

« Le roman c’est le réel filtré par la langue », Christophe Kantcheff, Politis, 20 mars 2014, n°1295, pp.22-24
Depuis sa sortie il y a deux mois, « Réparer les vivants » connaît un succès critique autant que public. L’auteure revient ici sur l’accueil de son livre par les lecteurs et sur ses choix d’écriture.

« Maylis de Kerangal », Marine Landrot, Télérama, 19 mars 2014, n°3349, pp.3-6
A l’introspection, la lauréate du Roman des étudiants France Culture-Télérama préfère la vie des autres. Elle s’en empare, d’une écriture précise, ardente.

« D’un Coeur l’autre », Norbert Czarny, Nouvelle Quinzaine littéraire (La), 01 février 2014, n°1098, p.8 « Enterrer les morts et réparer les vivants. » La phrase est tirée de « Platonov », la pièce de Tchékhov. Elle figure au milieu de « Réparer les vivants », au moment de bascule entre deux temps. Simon est mort et Claire vivra. La phrase du dramaturge russe fait le lien, ou établit un pont. Critique de livre.

« Quand la vie ne tient qu’à un fil », Christine Femiot, Lire, 01 février 2014, n°422, pp.48-49
Victime d’un accident, Simon Limbres, dix-neuf ans, est entre la vie et la mort. Mort cérébrale, mais le corps est maintenu en vie jusqu’à la décision de ses proches : accepteront-ils le don d’organes ? Un livre dont le rythme obéit aux pulsations de la vie. Sans pathos et bouleversant. Critique de livre. (isbn: 9782070144136)

« Mal de mer », Lisa Vignoli, Marianne, 18 janvier 2014, n°874, p.81
Elle aime raconter le réel et les éléments déchaînés, les foules et les folles entreprises. Dans « Réparer les vivants », Maylis de Kerangal évoque le don après la perte. Critique de livre.

« Un Cœur à prendre », Christophe Kantcheff, Politis, 16 janvier 2014, n°1286, pp.22-23
Avec « Réparer les vivants », Maylis de Kerangal signe un magnifique roman autour du don d’organes, où vie et mort sont intimement liées. Critique de livre.

« Grands corps malades », Marianne Payot, Express (L’), 08 janvier 2014, n°3262, pp.92, 94-95 Transplantation, opération, ablation… Quand la littérature joue la valse des organes. Sous la plume salvatrice de trois écrivains guérisseurs. Critique de livre.

« Maylis de Kerangal à coeur ouvert », David Caviglioli, Nouvel observateur (Le), 02 janvier 2014, n°2565, pp.83-84
Elle entre au comité de lecture de Gallimard et décrit une transplantation cardiaque dans un formidable roman. Rencontre.

« Vive le pathos ! », Oriane Jeancourt-Galignani, Transfuge, 01 janvier 2014, n°74, pp.52-55 Fait partie d’un dossier de 24 articles consacré à la rentrée littéraire d’hiver.
Deux romans jouent le pathos en cette rentrée 2014 : « Réparer les vivants » de Maylis de Kerangal et « Le Chardonneret » de Donna Tartt. Là où la première sublime le genre, la seconde s’empêtre dans une crème larmoyante. Confrontation.

« Révolutions du cœur », Chloé Brendlé, Matricule des anges (Le),  01 janvier 2014, n°149, pp.8-9 Dans « Naissance d’un pont », Maylis de Kerangal s’intéressait au chantier d’un pont ; dans un nouveau récit haletant, « Réparer les vivants », elle retrace l’élaboration – elle aussi collective – d’une greffe, et fait oeuvre. Critique de livre.

 « A coeurs ouverts », Jean-Baptiste Harang, Magazine littéraire, 01 janvier 2014, n°539, p.35
Critique de livre.

« Au coeur de la vie », Sean James Rose, Livres-Hebdo, 13 décembre 2013, n°978, p.53
Pour sa huitième fiction, Maylis de Kerangal nous plonge dans un roman dont l’enjeu est le don d’organes. Critique de livre.

« Maylis de Kerangal, la fille sur le pont », Margot Loizillon, Causette, 01 mai 2013, n°35, pp.89-90
Etonnante voyageuse, l’écrivaine Maylis de Kerangal aime tirer des traits : entre les deux rives d’une rivière, le long d’une corniche ou des rails du Transsibérien, il y a toujours une ligne à remplir, à écrire. « Causette » est partie à la rencontre de ses lieux de fiction. Des villes du littoral, qui l’inspirent et parlent un peu d’elle.

« Il existe des continents de langages inexplorés – par exemple le langage des mathématiques, de la chimie, ou encore la botanique… », Oriane Jeancourt-Galignani, Transfuge, 01 juin 2012, n°59, pp.32-37
« Naissance d’un pont », la formaliste Maylis de Kerangal revient avec « Tangente vers l’Est ». Dans ce nouveau livre, le mythique Transsibérien est le décor d’une rencontre entre une jeune Française et un soldat russe déserteur. Kerangal, aventurière de la langue, nous explique son travail.

« Le Transsibérien, trois voix possibles », Thomas Stélandre, Magazine littéraire, 01 février 2012, n°516, pp.26-27. Critique de livre.

« La Sibérie à petite vapeur », Marianne Payot, Express (L’),  11 janvier 2012, n°3158, pp.94-96
Au printemps 2010, une quinzaine d’écrivains français partaient sur les traces de Michel Strogoff. Ce voyage à bord du Transsibérien, de Moscou à Vladivostok, a inspiré Danièle Sallenave, Dominique Fernandez et Maylis de Kerangal. Plongée dans l’histoire et la géographie russes.

« Havres de grâce », Stéphane Audeguy, Nouvelle Revue Française (La), 01 mai 2011, n°597, pp.192-203. Numéro spécial « Un tour de la France ».

« Maylis de Kerangal », Matricule des anges (Le),  01 octobre 2010, n°117, pp.18-27. Dossier de 2 articles.
Fille d’un marin au long cours, Maylis de Kerangal semble assoiffée d’explorations. Aussi bien dans le monde réel que dans l’écriture, celle-ci lui offrant une cartographie de tous les possibles. Faisant l’apprentissage de la littérature en écrivant, la romancière a trouvé le bon vent.

« Maylis de Kerangal », Oriane Jeancourt-Galignani, Transfuge,  01 septembre 2010, n°42, pp.44-45 Fait partie d’un dossier de 21 articles intitulé « Rentrée littéraire ».
Dans son dernier roman, Maylis de Kerangal part de la construction d’un pont pour écrire l’épopée des nouveaux pionniers. Pour « Transfuge », l’écrivain revient sur cette parabole du monde contemporain.

« Le Grand passage », Emily Barnett, Inrockuptibles (Les), 18 août 2010, n°768, pp.60-61
Autour d’un chantier titanesque en Californie, Maylis de Kerangal signe une épopée saisissante sur les effets collatéraux de la mondialisation. Le roman le plus spectaculaire de cette rentrée 2010. Critique de livre.

« Roman-pont », Alexandre Fillon, Livres-Hebdo, 18 juin 2010, n°826, p.63
Maylis de Kerangal se pose cette fois dans une petite ville californienne qui a pour ambition de devenir une mégapole grâce à la construction d’un pont. Critique de livre. (isbn: 9782070130504)

« Corniche Kennedy » : Maylis de Kerangal, Romain Blondeau, Transfuge, 01 juin 2010, n°41, p.90
Avec « Corniche Kennedy », Maylis de Kerangal signe une chronique exaltée sur une jeunesse éprise de liberté. Pour « Transfuge », l’écrivain évoque ses influences et son rapport à la langue.

Archives sonores

Vous pouvez écouter l’intervention de Maylis de Kérangal dans un colloque de la Bpi consacré à Claude Simon

Archives sonores de la Bpi.
Un écrivain dans la littérature contemporaine
Sous-titre: Colloque Claude Simon, au présent de l’écriture (II)
Date: 16/11/2013
Lieu du débat: Petite salle, Centre Pompidou
Type d’animation: Colloque
Thème: Ecriture, Littératures de langue française
Durée: 01:25:50
Langue: Français
Intervenant(s): Arno Bertina ; Maylis de Kerangal ; Yves Ravey ; Lydie Salvayre
Animateurs / modérateurs: Dominique Viart

http://archives-sonores.bpi.fr/doc=3935#.VKvD0sm9E3g http://archives-sonores.bpi.fr/doc=3935#.VKvD0sm9E3g

Assises du roman
Elle est intervenue aux Assises du roman en 2011 comme en témoigne l’article du Monde repéré dans Bpi-Doc

Monde (Le) : Assises internationales du roman 20/05/2011 — Article
Les actes des Assises paraissent chaque année, comme suit :
Assises internationales du roman 05 (2011) Lyon.- Villa Gillet Lyon. Editeur C. Bourgois, Collection Titres , 133, 2011.
Ce recueil regroupe l’ensemble des textes rédigés spécialement pour ces assises internationales du roman, au cours desquelles une quarantaine d’auteurs se sont retrouvés

Fiche Auteur de Livres hebdo 2014

Le roman Réparer les vivants Maylis de Kerangal, Verticales/Gallimard a obtenu en 2014 les prix suivants :

PRIX DES LECTEURS DE L’EXPRESS-BFM

PRIX PARIS DIDEROT – ESPRITS LIBRES

PRIX RELAY DES VOYAGEURS

PRIX ORANGE DU LIVRE

GRAND PRIX RTL – LIRE

PRIX DU ROMAN DES ÉTUDIANTS FRANCE CULTURE-…

En 2010, Naissance d’un pont Maylis de Kerangal, Verticales/Gallimard
PRIX FRANZ HESSEL

LE PRIX MÉDICIS

En 2012, Tangente vers l’est Maylis de Kerangal, Verticales/Gallimard

PRIX LANDERNEAU

Cordialement,

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