Réponse apportée le 05/29/2012 par PARIS Bpi – Actualité, Art moderne, Art contemporain, Presse
Voici les ouvrages de références répertoriés par la base
World Biographical Information System (WBIS) Online pour ce musicien :
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Nom: Ferlendis, Giuseppe
Sexe: masculin
Année de naissance: ca. 1755
Profession: compositore; oboista; professore di musica
Classification professionnelle: Compositeurs (611); Instrumentistes et musiciens d’orchestre (613); Musicologues (506)
Archives: Archivio Biografico Italiano (ABI)
Endroit de fiche: I 401,22-23; II 233,373-375
Source (titre abrégé): Gerber 2; Eitner 1; Musica; Nuovo dizionario; Schmidl
Titre abrégé: Gerber 2
Citation de source: Gerber, Ernst Ludwig: Neues historisch-biographisches Lexikon der Tonkünstler, welches Nachrichten von dem Leben und den Werken musikalischer Schriftsteller, berühmter Componisten, Sänger, Meister auf Instrumenten, Orgel- und Instrumentenmacher etc. aus allen Nationen enthält. – Leipzig , 1812-1814. – 4 Bde
Titre abrégé: Eitner 1
Citation de source: Eitner, Robert: Biographisch-bibliographisches Quellenlexikon der Musiker und Musikgelehrten der christlichen Zeitrechnung bis zur Mitte des 19. Jahrhunderts / von Rob. Eitner. – Leipzig : Breitkopf & Haertel, 1900-1904. – 10 Bde
Titre abrégé: Musica
Citation de source: La musica : parte seconda. Dizionario / a cura di Alberto Basso. – Torino : Unione Tipografico-Editrice Torinese, 1968-1971. – 2 v
Titre abrégé: Nuovo dizionario
Citation de source: Nuovo dizionario Ricordi della musica e dei musicisti / a cura di Riccardo Allorto. – Milano : Ricordi, 1976
Titre abrégé: Schmidl
Citation de source: Schmidl, Carlo: Dizionario universale dei musicisti. – Milano : Sonzogno, 1937-1938. – vol. 1-2 e 2a (supplemento)
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Ci-dessous la notice Ferlendis (Joseph) dans le livre de Fétis, François-Joseph / Biographie universelle des musiciens et bibliographie générale de la musique / Éditeur : 1963
FERLENDIS (Joseph) fils d’un professeur de musique, naquit à Bergame en 1755. Dès son enfance, il montra des dispositions rares pour le hautbois et en fit une étude suivie. A l’âge de vingt ans, il se rendit à Salzbourg, en qualité de premier hautboïste. Là, il trouva, parmi les instruments de la cour, l’ancien cor anglais, qu’on ne jouait pas, à cause de ses imperfections et des sons rauques et durs qu’il rendait ; Ferlendis s’attacha à le perfectionner et à le rendre plus facile à jouer : il y réussit et le mit à peu près dans l’état où nous le voyons aujourd’hui. Quelques compositeurs se sont servis de cet instrument avec succès. Ferlendis demeura deux ans à Salzbourg ; de là, il alla à Brescia, puis à Venise. En 1793, il fut invité à se rendre à Londres avec Dragonetti. Il y passa quelques années et y fit entendre avec succès les quatuors, trios, duos et concertos qu’il avait composés pour le hautbois et pour le cor anglais. En 1802, il s’est établi à Lisbonne, où il est mort. Parmi les élèves qu’il a formés, on remarque ses deux fils.
Un article sur un forum musical qui reprend plus ou moins les infos ci-dessus
* http//musiqueclassique.forumpro.fr/t4856-giuseppe-ferlendis>
L’Oxford music online (abonnement Bpi) propose une notice en anglais d’Alfredo Bernardini. Je vous copie le premier paragraphe ainsi que la bibliographie :
« Ferlendis, Giuseppe
(b Bergamo, 1755; d Lisbon, 1810). Italian oboist and composer. By the age of 20 he was already a celebrated player and he toured Italy in 1776–7 together with one of his brothers (probably Pietro). On 1 April 1777 he joined Archbishop Colloredo’s orchestra in Salzburg, where he became close to Michael Haydn and the Mozarts. During summer 1777 Wolfgang composed for him the Oboe Concerto k271k. Leopold wrote to his son that he was ‘a favourite in the orchestra’ and that he had learnt much from the Italian oboist Carlo Besozzi, who visited Salzburg in May 1778. On 30 July 1778 Ferlendis left the archbishop’s service, and from July 1779 played the english horn at the Teatro Carignano in Turin. By 1780 he had settled in Venice, where he was often employed as first oboist of the S Samuele, S Benedetto and La Fenice theatres, and occasionally performed elsewhere in northern Italy. In 1795 he was in London, where he performed his own concertos for oboe and english horn during Haydn’s last season and became the lover of the famous soprano Brigida Banti, whom he accompanied on a few occasions. One commentator on his English performances noted that he possessed ‘astonishing fine command of the instrument, but degenerated into mere foolish trick’. Haydn himself found Ferlendis a ‘mediocre’ player. After his stay in England he went back to Venice, again performing throughout the whole region. In 1801 he moved with his wife Anna, daughter Giuseppa and son Alessandro to Lisbon, where he was employed first at the royal chapel and from 1804 at the Real Cámara. His employment there is recorded until the beginning of 1810, and later the same year his wife is described as a widow. (Some unsubstantiated sources stated that he died in 1802 or 1833.)3
Bibliography
G. Barblan: ‘Giuseppe Ferlendis virtuoso bergamasco e il suo concerto per oboe in fa maggiore’, Musiche italiane rare e vive da Giovanni Gabrieli a Giuseppe Verdi, Chigiana, xix (1962), 267–78
A. Bernardini: ‘The Oboe in the Venetian Republic, 1692–1797’, EMc, xvi (1988), 372–87
Nous vous conseillons de poser votre question auprès du service de réponses à distance de la Bnf : Sindbad à l’adresse suivante :
http//www.bnf.fr/fr/collections_et_services/anx_sindbad/a.formulaire_sindbad.html
Le département musique dispose de ressources qui ne sont pas encore toutes disponibles via le catalogue…
Cordialement,
Eurêkoi – Bpi (Bibliothèque publique d’information)
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