Réponse apportée le 05/03/2011 par PARIS Bpi – Actualité, Art moderne, Art contemporain, Presse
Comme vous, nous avons pu constater que la plupart des informations concernant Edvard Brantes étaient soit en danois soit en anglais.
Voici d’ailleurs la notice trouvée dans la base de données World biographical information system online (adresse internet : http://db.saur.de/WBIS/welcome.jsf>) à laquelle la Bpi est abonnée :
Nom: Brandes, Carl Edvard Cohen
Autres Noms: a: Edvard Brandes
Sexe: masculin
Année de naissance: 1847
Année de la mort: 1931
Profession: clergyman; newspaper publisher; literary critic; journalist; politician
Classification professionnelle: Prêtres, prédicateurs, pasteurs, rabbins (710); Editeurs (231); Journalistes, correspondants, rédacteurs, critiques (585); Hommes d’Etat, Hommes politiques (321)
Pays: Danemark
Archives: Scandinavian Biographical Archive (SBA)
Endroit de fiche: I A-37,78-140;A-377,28-30;II 23,18-33;375,6-7
Source (titre abrégé): Wulff; Bricka; Sveistrup 1; Hansen P. 3; Lndtng. 1907; Lndtng. 1910; Henrichsen; Hansen P. 2; Sveistrup 2; Elberling; Dahl; Danmarks historiens; Tågholt
Voici cependant quelques sites sélectionnés grâce à un moteur de recherches :
http://www.universalis.fr/encyclopedie/edvard-brandes/>
http://www.frenchschoolsnorthamerica.org/documentspdf/musee/fiches_Gauguin_femmes_de_Tahiti.pdf>
…… »Edvard Brandes l’acheta aussitôt. Cet achat contraria Gauguin qui comptait présenter l’œuvre à son exposition à Paris en novembre de la même année »
http://www.artclair.com/jda/archives/docs_article/46366/le-faune-de-la-discorde.php>
extrait de l’article : « Le Faune de la discorde »
Le Journal des Arts – n° 273 – 18 janvier 2008
…. »Le Faune a été authentifié en 2005 par la principale experte en céramiques de Gauguin, Anne-Birgitte Fonsmark, de Copenhague, qui l’a décrit comme l’une des œuvres « les plus satyriques de Gauguin ». Elle suggérait que « les traits du faune (symbole d’une sexualité sans retenue) » n’étaient pas ceux de Gauguin, mais de son beau-frère danois, Edvard Brandes, que l’artiste détestait. »
http://www.worldlingo.com/ma/enwiki/fr/Georg_Brandes>
Dans une courte biographie de Beorg Brandes, on peut lire :
« Son frère Edvard Brandes (1847-1931), aussi un critique bien connu, était l’auteur d’un certain nombre de jeux, et de deux romans psychologiques : Un politicien (1889), et Jeune sang (1899). Il est devenu une figure politique exceptionnelle de la partie Det Radikale Venstre. »
Enfin, nous vous conseillons de faire une recherche dans Google Books à l’adresse :
http://books.google.fr/bkshp?hl=fr&tab=wp>
En écrivant : « Edvard Brandes » dans la fenêtre de recherche, vous obtiendrez 2390 occurrences de livres et revues où cette personnalité apparaît.
Cordialement,
Eurêkoi – Bpi (Bibliothèque publique d’information)
http://www.bpi.fr